27 Février 2016
Conserver des choses «au cas où» illustre un manque de confiance dans l’avenir. Cela peut aussi être une façon de se protéger. Bon à savoir, le désordre est héréditaire… Si tous vos ancêtres avaient tendance à empiler, vous risquez bien d’avoir hérité de cette habitude ! Trier le superflu, c’est aussi apprendre à lâcher prise. Et c’est une façon d’amener des changements intérieurs. Faire de la place chez soi, c’est créer de l’espace pour laisser la nouveauté entrer dans sa vie.
Armez-vous d’un carnet et faites le tour de votre chez-vous. Notez les endroits où sévir, soit: la cave, le grenier, les débarras style cabane de jardin, les tiroirs, l’entrée, le balcon, derrière les portes, la cuisine, le dessous des lits, le dessus (et l’intérieur) des armoires et le garage. Si vous avez une voiture, une inspection peut être intéressante, tout comme celle de votre sac à main.
Marquez les zones qui vous agacent le plus, ce seront les premières à explorer. Quand vous verrez le bien que cela vous fait, cela vous donnera de l’énergie pour la suite!
Prévoyez quatre cartons: «déchets», «à recycler (= donner-vendre-offrir…)», «à réparer» et «en transit». Pour les deux derniers, fixez-vous un délai pour traiter ce qui s’y trouve.
Commencez par une petite zone, un jour où vous avez une heure devant vous.
Prévoyez un (petit) tiroir où lancer les choses en transit. Triez-le souvent. Si vous vivez sur plusieurs étages, il vous en faudra probablement un par étage.
Vous hésitez devant un objet ? Posez-vous les trois questions suivantes: Est-ce que cet objet augmente mon énergie lorsque je le regarde ? Est-ce que j’aime vraiment cet objet ? Est-il vraiment utile ? Si une de ces questions ne récolte pas un oui franc et net, cet objet n’a plus rien à faire dans votre vie.